Comme des images

Impression

Roman ado 14+ — Exprim’ Sarbacane

Il était une fois des enfants sages comme des images, dans un prestigieux lycée.

L’histoire commence le jour où Léopoldine a cassé avec Timothée pour Aurélien. Ou bien le jour où Tim a envoyé un mail avec des images de Léo à tout le monde. C’est ici, dans notre prestigieux lycée, que tout va se jouer. Léo a une journée pour assumer ces images, vaincre Tim et garder Aurélien. Moi, comme d’habitude, je l’épaule. Il faut vite régler cette histoire pour pouvoir penser à autre chose, aux maths et à la physique, à l’entrée en première S. Parce qu’on ne plaisante pas avec ces choses-là, par ici.
Je savais que ce ne serait pas une partie de plaisir. Mais je ne pensais pas que cette journée allait se terminer comme ça, à regarder, en plein milieu de la cour, un corps cassé, ensanglanté.

Un roman de faux-semblants, d’effets de surfaces et d’illusions, où on observe le monde à travers des jumelles.

Blogs et Presse

A little matter whatever, 05/02/2014: “Premier coup de coeur de 2014… Un conte cruel mais réaliste, bouleversant mais révoltant…Avec Comme des images, Clémentine Beauvais nous dresse un portrait réaliste des adolescents d’aujourd’hui, d’une violence insoutenable. Il y a la pression que l’on met sur certains pour la réussite de leur avenir mais ce qui m’a le plus ému, c’est le manque de communication. Ils sont ensemble en classe, ils sont amis sur Facebook ou s’envoient des sms à longueur de journée et pourtant ils sont seuls.”

Enfantipages, 05/02/2014: “Le  récit, zébré de passages au style différent (règlement intérieur, lettre, mur facebookien…) en ressort plus fort, et poursuit son cours vers l’inexorable avec une puissance décuplée. Un ouvrage qui bouscule avec beaucoup, beaucoup de talent dès 14 ans.”

Xlivres, 05/02/2014: “Dévoré en une seule soirée, j’ai été happée par l’histoire. Que va-t-il se passer ? … A lire non sans un certain avertissement (certaines scènes peuvent heurter la sensibilité du lecteur). Un roman coup de poing auquel on pense beaucoup après avoir achevé sa lecture.”

Cunéipages, 05/02/2014: ça fait froid dans le dos, dépassant largement le cadre de l’intrigue, parce que chaque mot est juste, que les situations sont d’une exactitude glaçante, et qu’une atmosphère puissante imprègne peu à peu le lecteur. C’est destiné à la Jeunesse mais peut être lu par tous, et je le conseille vivement.”

Divan Jeunesse, 06/02/2014: “Un roman très juste sur l’adolescence… Plume réaliste, écriture sans tabous, drôle et cruelle à la fois. Un texte de grande qualité. Bouleversant !”

Une souris et des livres, 12/02/2014: Tout est pour moi, parfait ! Des dialogues que l’on prend en pleine figure. Percutant, mordant, saisissant, cruel, mais réaliste ! Attention je n’ai pas dit glauque, c’est raconté par une ado de 16 ans. Je ne peux que vous le conseiller de le lire, j’ai été émue, bouleversée, révoltée. En le refermant je me suis posé des questions, un roman pour les adultes comme pour les ados, un livre qui, une fois fini vous reste en tête.

Bouquins en folie, 12/02/2014: “On ressent. Beaucoup. Il y a l’attachement presque désespéré de la narratrice – qui ne porte pas de nom, à laquelle on s’attache, à laquelle on s’identifie donc, qui pourrait être n’importe qui – pour Léopoldine. Si elle le lâche, elle n’a plus ce modèle, elle n’a plus cette amitié, elle admet aussi qu’elle s’est peut-être trompée, que Léopoldine n’est peut-être pas cette formidable amie qu’elle a depuis la sixième.           Que se tisse-t-il vraiment entre tous ces personnages ? Que ressort-il vraiment de ce récit fluide, qui entraîne le lecteur dans une lecture passionnante, ce genre de lecture dont on semble ne pas voir les pages se tourner, ce genre de lecture qu’on ne veut pas arrêter – « allez un chapitre et j’arrête » – ce genre de lectures aussi entrecoupée de sortes d’ « extras », de compléments : commentaires YouTube, conversation Facebook …”

Muti et ses livres, 14/02/2014: “Jamais l’auteur n’emploie de mots édulcorés, si elle a un truc à nous faire comprendre, elle le fait directement, à la manière des ados qui sont vraiment trop direct en trop, dans cette façon qu’ils ont de vouloir trouver leur place, faire mieux que l’autre et être accepté. L’auteure aborde le sujet des conséquences qu’une vidéo peut avoir sur la personne concernée une fois publiée sur le net, mais pas que… J’ai lu très vite ce livre. J’ai ressenti toutes les émotions des protagonistes. J’ai eu envie d’en savoir plus sur chacun d’eux, mais là n’était pas le but de l’auteure. Elle voulait montrer comment une vie peut voler en éclat en si peut de temps.”
Récréalivres, 15/02/2014: “Léo personnage miroir semble d’abord être le principal enjeu du roman qui se déconstruit progressivement en se concentrant sur les personnages en marge, au-delà des apparences. A ce titre, la narratrice est la plus belle trouvaille de “Comme des images”. Sa façon de surplomber l’histoire avec une condescendance savoureuse et cet “air de ne pas y toucher” révèle une profondeur poignante d’abord insoupçonnée. C’est autour de ce renversement du sens de lecture, que l’auteur impressionne et touche à la fois, autour de cette scène saisissante qui fait le lien entre les chichis de la couverture chlorée et les mots de Sartre.”
Les lectures de Val, 17/02/2014: “Je viens de me prendre une énorme claque par ce livre et cette auteure , je suis encore sous le choc de ma lecture. Cette histoire me trottera encore un long moment dans la tête. j’ai été à la fois émue, révoltée mais tellement bouleversée que je vous le conseille, que vous soyez adolescent(e) ou plus âgé(e), c’est une histoire à ne pas manquer, cela a été un vrai énorme coup de cœur pour moi.”
Bookronicles, 21/02/2014: “J’ai adoré ce roman, je ne l’ai pas lâché, que ce soit dans le bus, dans mon lit, ou en marchant dans la rue je lisait, et j’avançais dans le destin des jumelles Gauthier. C’est la première chronique que j’ai écrite car j’ai c’est de loin mon coup de cœur de la semaine!”
Le souffle des mots, 21/02/2014: “La toute première phrase nous laisse déjà une petite dose de suspens avant même de rentrer dans l’histoire, ce qui en quelques secondes donne le pouvoir à ce roman de nous devenir indispensable. On veut savoir. On veut comprendre ce résumé qui nous intrigue tant, ce titre aux multiples significations, ces personnages aux personnalités si complexes et si communes à la fois… Un coup de cœur si mystérieux, si perturbant, si dérangeant.
Jeblo, 21/02/2014: “un roman tellement intéressant et intelligent qu’il m’est difficile de trouver les mots pour cette chronique. J’ai absolument adoré l’atmosphère que dégageait ce livre, celle d’un Paris huppé ultra sélectif et obsédé par la réussite, l’une des nombreuses facettes de la capitale française.”
Ca sera comment, dis?, 21/02/2014: “Plus encore que les problèmes de communication sur les réseaux sociaux, ce roman aborde la question de la communication en général. Ce qui est le plus criant dans ces 200 pages, c’est l’absence totale de communication entre les deux générations. Profs et parents semblent totalement désœuvrés, heureux lorsque les ados semblent régler leurs problèmes tout seuls, au moins pas besoin de s’en mêler. Drôle d’époque, drôle de monde ultra-connecté et pourtant très solitaire. Un livre pareil, ça ne laisse pas indifférent, j’en tremble encore.”
Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait LIVREsse, 23/02/2014: “Une lecture qui trotte en tête et qui vous rappelle qu’il faut plus que jamais regarder au-delà des apparences et renouer une solidarité interpersonnelle perdue. Un texte moderne où l’auteure mélange avec art réflexions de sa narratrice et documents variés, règlement d’ordre intérieur, conversations instantanées sur Facebook, etc.  Le tout formant un récit vif qui vous entraîne toujours plus loin dans la découverte des travers de notre société individualiste. Un roman qui plaît énormément mais qui dérange tout autant puisqu’il appuie là où ça fait mal!”
Le chat pitre, 24/02/2014: Nos tables de libraires ne manquent pas de romans se déroulant  entre les murs des lycées et des  pensionnats.  Mais il est rare de trouver un ton aussi juste, que ce soit pour parler des amitiés et des amours qui se lient et qui se défont,  ou des angoisses liées à la pression d’un système scolaire et d’une société faisant de la compétition une valeur absolue. Les enfants sages de Clémentine Beauvais sont loin de ressembler à des images. Leurs émois et leurs déconvenues s’inscrivent dans leurs chairs et cela peut faire mal.”
Entre nous, 26/02/2014: “Encore un livre sublime de la collection Exprim’. Commencé et lu d’une traite…”
A voir et à manger, 27/02/2014: “Henri IV a une solide réputation d’enfer sur terre, mais c’est surtout vrai du lycée qui ne forme pas des lycéens, mais les futurs étudiants en grandes écoles. Le bac n’est pas un objectif, mais une formalité et on ne considère ici la réussite qu’à la mention Très Bien. Clémentine Beauvais a été une lycéenne de Henri IV et même si Comme des images n’a absolument rien d’autobiographique, on sent bien qu’elle s’est inspirée de ses propres expériences pour enrichir son roman. C’est sans doute ce qui est le plus intéressant, au-delà de l’anecdote et au-delà des tracas, sentimentaux ou non, de jeunes filles en seconde.”
Biblioado, 24/02/2014: “Une réflexion sur l’adolescence, sur le milieu scolaire et la pression qui peut y voir le jour. Une réflexion sur l’amitié, sur les sentiments amicaux, leur sincérité, leur valeur, réflexion sur la vie des ados et de la violence qui peut envahir leur univers (moquerie, harcèlement). Un roman sans concession qui nous tient en haleine.”
En passant, 02/03/2014: “En tombant de haut, quelqu’un vient de faire sauter le puzzle de sa vie. Elle va essayer d’en rassembler les morceaux pour nous aider à le reconstituer, à petits coups d’analepses. Il va être beaucoup question d’images, le titre ne ment pas : d’image de soi, d’image que l’on donne aux autres, que les autres fabriquent de vous, qu’ils diffusent, qu’ils détruisent, qui se conservent quand même, auxquelles on voudrait échapper (mais on ne peut pas). Sage comme une image ? Oui, à devenir folle. Pour un peu, dans ce monde, on ne serait « plus une personne, mais une image ». Société du spectacle, annonçait le prophète Debord.”
Les lectures de Bouch, 03/03/2014: “Je ne sais pas par où commencer. Ce roman, terriblement court, m’a bouleversée. Après en avoir tourné la dernière page, je suis restée cinq bonnes minutes, là, le bouquin entre les mains, complètement hébétée. Parce que ce roman n’est pas seulement une histoire de vengeance puérile. Il ne nous met pas uniquement en garde contre les méfaits des réseaux sociaux. Non, ça, c’est plutôt la coquille, le voile qui l’englobe. Il parle avant tout des adolescents. De ces adolescents complètement livrés à eux-mêmes, et de leurs parents, totalement déconnectés de ces enfants.”
Spleen La Jeune, 05/03/2014: “On pourrait croire que ce roman traite du cyber-harcèlement, des conneries que font les adolescents … On pourrait croire que ce roman aborde des thèmes qui ne concernent que cette horde d’adolescents débiles. On pourrait mais ce serait se tromper. Comme des images va plus loin, Comme des images est plus profond. Ici, il est question de communication … La Communication. Parents-enfants. Professeur-Enfants. Entre potes. Toute communication. Il est plus facile de balancer quelques conneries que de parler de ce qui agite nos tripes. Il est plus facile de prétendre être que d’être réellement.”
Batifolire, 06/03/2014: “Engouement mérité sur la toile et les réseaux sociaux pour ce roman qui aborde justement le sujet de nos nouveaux modes de communication et les effets pervers qu’ils peuvent avoir.
L’antre des livres, 07/03/2014: “Aux premiers abords on pourrait croire que c’est un roman qui dénonce le cyber-harcèlement et le danger des réseaux sociaux et d’internet. Ce qui est faux. Bien sûr, on y pense en le lisant, mais ce que ce livre semble pointer du doigt en premier lieu, c’est la course à la réussite, la pression qui est mise sur les frêles épaules des élèves, dès le collège. Et à cela s’ajoute l’importance que l’on donne à la réputation et à l’image, au paraître.”
Le tiroir à histoires, 07/03/2014: “Comme des images est un roman contemporain, ancré dans l’ère 2.0, comme en témoigne sa narration originale, vivante, empruntant volontiers et judicieusement les codes des  nouvelles formes de communication. S’il est question, en toile de fond, de notre rapport nouveau, obsessionnel, voyeur, exhibitioniste, amoral, superficiel à l’image numérique, c’est d’autres images qui sont pointées du doigt : Les images que nous choisissons d’être, ou de chérir, les images des autres et de soi, dans tout ce qu’elles ont de fascinant, d’illusoire, de factice. Et plus pernicieusement, les rapports artificiels qui en découlent.”
A-lu-ciné, 10/03/2014: “Un livre efficace qui se lit très vite et qui marque. Un roman à placer sans nul doute entre beaucoup de mains et notamment celles des ados (et des adultes) qui ne mesurent pas bien l’ampleur des dégâts que peut causer une malheureuse toute petite vidéo postée sur le net.”
Etincelles de plume, 10/03/2014: “Pour vous expliquer l’ambiance de ce roman, la couleur bleu est un bon début. Bleu clair, plus précisément. Car ” Le verre n’est jamais si bleu qu’à sa brisure – Les yeux d’Elsa d’Aragon” ; car le bleu est la couleur dominante sur la couverture; car c’est un monde coincé, qui, en une journée, va éclater en morceau, révélant les vérités, les dangers, la vraie vie… Ce roman est indescriptible, et pourtant, je m’acharne à vous le décrire… Le diagnostic est clair: vous devez le lire. Comme des images est un coup de coeur, un coup de coeur qui marque, horrifie, fascine… Il se lit vite – une soirée pour moi – mais reste gravé en vous par la suite.”
La bouquineuse, 10/03/2014: “Un excellent livre car je n’avais jamais ressenti un trouble pareille en refermant un roman. J’étais littéralement perturbée. Et je  pense que je n’oublierai pas cette histoire de sitôt.”
La littérature jeunesse de Judith & Sophie, 11/03/2014: “Il n’est jamais question de matraquer les ados en leur disant qu’internet c’est le mal. Il s’agit au contraire d’une invitation à la réflexion pour éviter ces situations extrêmes mais de plus en plus fréquentes. Ce roman, c’est aussi des questionnements d’adolescents : des envies d’une autre vie, des personnalités qui se cherchent, des actes irréfléchis, des amours, des amitiés, la pression des études (ici on est au lycée Henri IV à Paris qui forme l’élite de la société)…Ce roman, c’est aussi une fin. Une fin qu’on attend du fait des apartés de la narratrice sur le parcours qui l’a menée dans cet hôpital, mais une fin qu’on n’imagine pas, une fin qui dénote en sortant du fil conducteur de l’histoire tout en étant son dénouement le plus innatendu.”
3 étoiles, 12/03/2014: “Un roman hypnotique et moderne qui décrit avec justesse et intelligence certains travers de la société, les affres de l’adolescence, l’ingérence humaine : le cri primal de l’injustice, le premier non. Enorme premier ***coup de coeur*** roman 2014”.
Sophie lit, 13/03/2014: “J’ai été profondément touchée par le récit de Clémentine Beauvais qui parle d’éléments déclencheurs dans une vie, de prise de conscience, de victimes collatérales, d’amitié manipulée, d’amours adolescentes dans un casse-tête au dénouement tragique.”
Librairie Payot de Genève, mars 2014:
coupdefoudreL’ouvre-livres, 14/03/2014: “Mêmes vêtements de luxe, même tennis Bensimon et surtout, surtout : même avenir, même futur formaté, même parcours prévu. Tout est déjà gravé dans la pierre du prestigieux établissement….Ce roman traite de sujets contemporains avec une intelligence qui vous saute à la figure à chaque chapitre. Rien n’y est mièvre ou pleurnichard. Sans pathos, mais avec pleine conscience de notre époque, Clémentine Beauvais nous offre un texte subtil, vrai et dramatiquement probable. Lu en un soir et une pause-déjeuner, dévoré mais pas près d’être digéré.”
La mare aux mots, 14/03/2014: “Souvent dérangé (mais ça fait du bien, parfois, d’être un peu bousculé), on assiste à des scènes parfois dures, parfois violentes. Clémentine Beauvais nous raconte la jeunesse des quartiers huppés, dans lycées aux taux de réussite au bac proche des 100%”.
Livresse, 15/03/2014: “Mais de quoi s’agit-il ? Comment un petit livre de deux cents pages peut-il susciter un tel émoi ? Parce qu’il est criant de vérité, parce qu’il véhicule des messages que chaque adolescent devrait recevoir en son sein.”
Livresquement, 21/03/2014: A l’image de sa première phrase d’accroche, l’ensemble du livre est incroyablement prenant. Une fois commencé, croyez-moi, vous ne le lâcherez plus !
CRDP de Paris, 31/03/2014: “Une fois de plus les réseaux sociaux sont mis en cause. Quelle part d’intimité peut-on y dévoiler ? Que faire en cas de violation délibérée de son intimité ? Comment Léo va-t-elle s’en sortir ?Jusqu’à la fin le lecteur croit le savoir. Pourtant il se trompe, l’auteure a choisi de brouiller les pistes pour le surprendre. Un roman qui met en scène des adolescents déshumanisés par leur milieu social. Un regard sur la vie qui changera peut-être les idées reçues.”
Croque les mots, 31/03/2014: “Comment une intrigue aussi simple peut être autant frappante ? Pourquoi un tel sujet nous touche autant ? Peut-être parce que nous sommes la génération touchée en plein coeur…. Ce petit livre est énorme par son fondement. L’auteure a un style qui sait nous toucher profondément, qui sait nous concerner, et surtout : Qui sait se moquer de nous. Je ne m’attendais pas à ce que l’histoire prenne une telle tournure. J’ai été tellement perturbée par cette fin, ces derniers pages qui ont su me rendre bouche bée, et me faire refermer le livre avec pour seule parole le silence. Cette fin géniale.”
Mirontaine, 09/04/2014: “Beaucoup de pertinence et d’intelligence dans ce roman qui au-delà de l’intrigue met en scène des dialogues percutants, vifs avec des références intertextuelles puissantes. A mettre sur toutes les tables de CDI, de chevets, sur les paillasses des salles de science.”
Azilis, 15/04/2014: “Une nouvelle fois la collection Exprim de Sarbacane, nous offre un roman poignant… des mots justes et vrais qui font que ce roman semble si proche de la réalité.”
Les lectures de Kik, 14/04/2014: “C’est cruel, et en même temps, c’est exactement ça. Les sentiments sont à fleur de peau pendant l’adolescence. Tout peut prendre des proportions incroyables. Un roman qui tord le ventre, car tout en voulant savoir à qui est le corps étendu dans la cour, on ne veut pas découvrir toute la vérité et savoir ce qui a été la cause de cette chute. On devine peu à peu les non-dits, ce que la narratrice ne veut pas s’avouer.”
Bibliothèque de Glow: “Comme des images est un roman à ne louper sous aucun prétexte ! Terrible et hypnotique, tragique et fascinant, on se plonge dedans corps et âme jusqu’à l’ultime fin qui nous donne toutes les clés d’une superbe tragédie grecque contemporaine. A lire dès l’âge de quinze ans environ.”
Jeunesocentres, 23/04/2014: “Une tragédie moderne va se nouer sur fond de cours, de réussite, de guerre de l’image et d’amitiés toujours très compliquées. L’ensemble demeure néanmoins miraculeusement léger et très agréable à lire, abordant des sujets graves et futiles et rappelant à juste titre que nos regards ne se portent pas toujours sur les bonnes personnes…”
Lou lit là, 23/04/2014: “On ressort de ces 200 pages soufflé, contaminé par ces quelques heures passées au lycée, en proie à la réflexion sur l’élite, l’adolescence et le destin des sœurs Gauthier. On repense pendant quelques temps à certaines phrases, marquantes, touchantes. Un roman fort à découvrir et à conseiller.”
Satine’s books, 09/05/2014: “J’ai aimé ce roman qui est au final une grande claque dans la figure. J’ai beaucoup aimé cette petite lecture qui est remplie de vérité et de réel. On se rend vraiment compte de la cruauté des enfants qui au final n’en sont même pas conscients: ils vivent avec ça depuis toujours.”
Travailler moins pour lire plus, 09/05/2014: “J’ai beaucoup aimé ce roman, son intelligence, son actualité, sa sensibilité. … Le thème abordé de l’identité numérique, du respect de l’intimité sur internet touchera à la fois les jeunes mais aussi les éducateurs qui cherchent souvent à aborder ce sujet avec les élèves. Ce livre le fait très bien, sans leçon de morale mais sans détours : il doit donc absolument se retrouver dans tous les CDI de collèges et lycées !
Librairie Croquelinottes, 11/05/2014: “Construit avec intelligence, complexe et judicieux du point de vue de la narration, Comme des images interroge notre rapport à l’image, aux images. Il redit que toutes ces images, de soi, des autres, sont bien souvent illusoires et qu’elles conditionnent notre rapport dramatiquement artificiel aux autres.”
Mille Vies en Une, 13/05/2014: “Comme des images questionne le lecteur sur ses habitudes liées à Internet, au partage. Toujours plus vite, toujours plus connecté, il faut aujourd’hui partager pour exister. Mais peut-on tout partager ? Où doit-on s’arrêter ? Clémentine Beauvais renvoie les adolescents au peu d’intimité qu’il leur reste, les questionne… Plus encore que les problèmes de communication sur les réseaux sociaux, ce roman aborde la question de la communication en général. Ce qui est le plus criant dans ces 200 pages, c’est l’absence totale de communication entre les deux générations. Profs et parents semblent totalement désœuvrés, heureux lorsque les ados semblent régler leurs problèmes tout seuls, au moins pas besoin de s’en mêler. Drôle d’époque, drôle de monde ultra-connecté et pourtant très solitaire.”
Instant évasif, 23/05/2014: “Dans cet établissement fréquenté par les “filles et fils de”, la compétitivité qu’on y trouve en raison des attentes de la société et de la pression exercée par les parents ou les autres est aussi dénoncée. Tout comme le mal être de certains lycéens, les problèmes d’ados, de jumelles, de personnalités : sommes nous vraiment qui nous sommes ? Le récit écrit avec un langage courant, jeune, parlé et par une narratrice dont on ne connait pas le prénom permet une immersion totale du lecteur au cœur de l’histoire.Un sujet délicat qui fait de ce livre une petite merveille, il va  donc s’en dire que je le conseille fortement !
Le combat oculaire, 05/06/2014: “NON, je t’arrête tout de suite, tout le monde s’en prend plein la gueule. Jouissif mon gars, jouissif. On ne s’attache à aucun personnage et bizarrement c’est ce qui fait qu’on continue de lire le bouquin page après page jusqu’à ce que y’ait écrit FIN. En cadal, une fin royale à la conte de fées moderne qui tire le sourire parce que c’est magistralement bien tourné.”
Ladies et macarons, 11/06/2014: “Un roman dur, secouant, remuant qui nous noue l’estomac et qui nous terrifie. La plume acérée de Clémentine Beauvais nous emmène au cœur du lycée Henri-IV où des adolescents qui, en apparence sages et rangés, sont à l’origine de scandales, de crises et de drames.
Au milieu des livres, 17/06/2014: “Ce livre va bien au-delà d’un appel à la méfiance ou d’une simple mise en garde… une très belle histoire ancrée avec justesse dans l’univers des adolescents. Elle se fait la voix de l’adolescence dans ce qu’elle a de plus beau et de plus sombre. Que ses personnages soient amoureux, qu’ils crèvent de tristesse, qu’ils se noient dans leur mal-être ou qu’ils gardent en eux tous les questionnements liés à leur âge, ils sont le reflet d’une génération sans concession qui se cherche et qui parfois se perd, par passion, candeur ou par excès. Une réussite et un texte à partager.”
Je lis et je raconte, 10./07/2014: “Le ton est parfois léger, parfois dur et empreint d’une certaine touche de philosophie. On se reconnaît facilement dans les personnages, même si c’est un milieu social qu’on n’a pas forcément nous-même fréquenté. On connaît tous les préjugés, les sujets tabous, les comportements stéréotypés et conditionnés parce que l’on a envie de rentrer dans des cases, on a envie d’être populaire, apprécié, de plaire à nos parents… Bref, des préoccupations d’ados, sauf que ce n’est pas si simple et que parfois ça peut aller très loin, vraiment très loin.”
Refuge littéraire, 13/07/2014: “En résumé une vraie réflexion sur la vie, sur ce passage de l’adolescence, sur les dégâts que l’on peut causer selon nos actions. Un livre parfois dur mais c’est fait exprès et je pense que on en a besoin. Accrochez vous, vous aller lire rapidement mais vous digérerez bien plus difficilement. “
Le monde de Mushroom, 28/07/2014: “Ce roman est tout simplement bouleversant, on peut voir comment les élèves sont oppressés, obnubilés de gagner,d’être meilleur qu’autrui, au fil du roman je me suis demandée si ils avaient encore des sentiments humains.Le roman en lui même nous submerge et nous laisse dubitatif sur ce qu’est vraiment l’institution en générale, une simple vengeance et tout tourne au drame.A la fin J’avais plein de questions en tête et c’est ce que j’attendais par rapport à ce roman depuis le début.Tout simplement une très belle découverte.”
A l’encre de plume, 26/08/2014: “Comme des images est un gros coup de cœur. Il propose une réflexion sur la vie, sur ce que subissent les adolescents, sur cette génération naïve et surexposée. Finalement, ce qui arrive à Léo pourrait arriver à plein de personnes que l’on connaît. Sa sœur, sa meilleure amie, sa propre fille… C’est un roman qui fait réfléchir et qui devrait être lu par beaucoup de personnes.”
Allonz’Enfants, 17/08/2014: “A lire ses conseils de techniques de travail, on imagine qu’elle connaît bien ces filières d’excellence qu’elle a fuies néanmoins pour « l’Anglicheland ». Elle dresse ici un portrait d’une justesse à faire froid dans le dos sur les pratiques adolescentes. La cruauté des cours de récré s’est déplacée sur les réseaux, démultipliant la force de leurs flèches dévastatrices et les dommages collatéraux. Derrière l’histoire de Léopoldine et d’Iseult, elle raconte surtout le fragile désarroi de ces ados et les ravages cachés du grand moule de l’excellence.”
Onirik, 01/09/2014: “Ce livre est avant tout destiné aux jeunes, de la fin de collège au lycée. Ils s’identifieront facilement à ces personnages qui leurs ressemblent. Pour autant, les adultes ne bouderont pas leur plaisir. On se plait dans ce roman qui nous parle, qui nous rappelle nos propres angoisses scolaires, et comme elles nous paraissent lointaines désormais.”

4 thoughts on “Comme des images

  1. Bonjour, J’ai lu Comme des images, en fait non, lu n’est pas le mot, je l’ai dévoré plutôt. Je voulais te remercier car j’ai vraiment adoré. Je ne connaissais pas ton travail, je me ballade donc sur ton site et j’aime beaucoup ce que tu fais. Je suis fan d’albums, je crois que j’irai faire un tour chez mon libraire. En tout cas, j’espère que Comme des images va cartonner, il le mérite largement.
    Au plaisir de te lire très vite.

    • Merci beaucoup de l’avoir lu et d’avoir pris le temps d’écrire ce commentaire – je suis ravie que le livre t’ait plu.

  2. Pingback: Comme des images, BEAUVAIS Clémentine | La lecture mutualisée

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